Intelligence artificielle quelles conséquences pour le travail

Intelligence artificielle : quelles conséquences pour le travail

Cette addiction pose un défi pour nous, adultes, car beaucoup d’entre nous avons des comportements addictifs avec nos portables, et nous les transmettons inconsciemment à nos enfants. En formant les étudiants à utiliser l’IA comme un outil et à cultiver leur esprit critique, on déconstruit l’idée selon laquelle la machine serait une sorte de divinité omnisciente. Par exemple, écrire soi-même un texte avant de demander à ChatGPT de l’améliorer est une démarche très différente que de lui poser une question et d’attendre la réponse sans effort préalable. Il est essentiel de continuer à préserver notre créativité et notre sens critique car c’est précisément ce qui fait notre humanité.

Des dirigeants de la tech, tels que Sam Altman, d’OpenAI, créateur de ChatGPT, Sundar Pichai, directeur général de Google, ou Dario Amodei, patron de la start-up américaine Anthropic, devaient aussi se pencher sur une gouvernance mondiale de l’IA visant à encadrer ses potentielles dérives. Pas plus que Liang Wenfeng, fondateur de la dernière start-up en vue, la chinoise DeepSeek, a annoncé l’Elysée. De nombreux acteurs du secteur et plusieurs personnalités politiques majeures sont réunis lundi et mardi au Grand Palais, à Paris, à l’occasion du Sommet pour l’action surl’intelligence artificielle.

Les auteurs ont util­isé Chat­G­PT pour analyser les tâch­es liées aux pro­fes­sions et leurs ont attribué des notes cor­re­spon­dantes à leurs poten­tiels d’exposition. Plus une activ­ité regroupe un haut poten­tiel d’exposition, plus elle a de chance d’être automatisée. Pour les doubleurs, l’enjeu dépasse le simple aspect économique ; il s’agit également de défendre un art. Ils affirment que le doublage n’est pas une simple traduction mais une véritable adaptation artistique, qui véhicule les émotions et les nuances culturelles d’une œuvre. Lors du rassemblement, des chants tels que « IA casse-toi, tu touches pas à ma voix » ont résonné, témoignant de leur passion pour ce métier.

« Ce sont des data centers, ce sont des partenariats avec des grandes entreprises françaises, c’est énormément de capacités de calcul, qui vont être créées sur le territoire », se réjouit-il faisant part de sa « fierté ». S’il y a des nuances selon les régions du monde, l’étude envis­age glob­ale­ment une inté­gra­tion de l’IA dans le quo­ti­di­en. « Cette approche aurait pu être atten­due comme générant un nom­bre alar­mant de perte d’emploi, mais ce n’est pas le cas. Notre esti­ma­tion glob­ale pointe plutôt vers un futur où le tra­vail est en fait trans­for­mé, mais tou­jours présent », résu­ment les écon­o­mistes. Cepen­dant, cette évo­lu­tion du tra­vail doit pren­dre en compte cer­tains enjeux pour éviter un impact négatif.

• Pour réaliser cette vision, nous nous centrons sur la création des conditions favorables à cette infrastructure dans les domaines d’intérêt général.
• Les entreprises, tout particulièrement dans la capitale française, doivent assimiler l’impact de ces mégadonnées sur leurs opérations quotidiennes.
• Grant Thornton, Membre Fondateur du Cercle Dauphine Numérique, et le Master CARF de l’Université Paris-Dauphine – PSL, présentent une nouvelle enquête sur la place de l’Intelligence Artificielle dans les pratiques d’audit.
• Des spécialistes comme le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz avertissent que les emplois moins qualifiés pourraient être concurrencés par le développement de l’IA, augmentant ainsi les inégalités entre les pays disposant d’une main d’œuvre qualifiée et les autres.
• Cela reste un défi majeur, notamment dans les sports où les informations ne sont pas toujours disponibles ou facilement vérifiables.

Les défis pour réduire l’impact écologique de l’IA

À Paris, des événements comme le Salon Big Data Paris mettent en lumière les dernières avancées en matière de technologie et d’exploitation des données. Durant ce type de conférence, les leaders du secteur partagent des actualités numériques et des ressources essentielles pour naviguer dans cet océan de données. Enfin, des entreprises tentent de limiter leur impact en créant des IA plus “frugales”, c’est-à-dire qui réclament moins de ressources. Les géants de la tech mettent aussi en avant des IA pensées pour prendre soin de l’environnement, par exemple pour détecter des fuites de méthane dans l’atmosphère, ou concevoir de nouveaux matériaux plus économes.

Depuis 2020, la Métropole du Grand Paris s’engage activement pour améliorer la qualité de vie de ses habitants par le soutien de ses communes en matière d’innovation urbaine. Casino Wettigo Concernant les contrôles, les modèles utilisés s’appuient sur des algorithmes qui peuvent traiter un ensemble significatif de données afin de prédire des résultats et en tirer de savantes conclusions. Les échantillons sont ainsi plus nombreux, plus fiables et l’algorithme apprend progressivement de ses résultats.

Réunis devant l’Opéra Garnier, ils ont exprimé leur crainte face à une possible exploitation de leurs voix par des systèmes d’IA. Les syndicats ont réclamé des protections légales pour empêcher l’utilisation abusive de leur travail et appellent à une régulation stricte de l’IA dans le secteur de l’audiovisuel. L’intelligence artificielle, avec ses algorithmes puissants et ses applications révolutionnaires, est devenue incontournable pour de nombreux individus et organisations. Mais son empreinte écologique, encore trop souvent sous-estimée, pose des défis majeurs pour la transition énergétique. L’optimisation des infrastructures, la sobriété énergétique des algorithmes et les initiatives pour des data centers plus verts sont autant de leviers à actionner pour rendre l’IA plus durable.

L’intelligence numérique au service de l’innovation

Les entreprises investissent massivement dans des technologies IA pour optimiser leurs opérations. Parallèlement, des emplois émergent autour de l’IA, favorisant une diversification du marché de l’emploi et une amélioration des capacités d’analyse des entreprises. Cette annonce intervient à quelques jours du sommet sur l’IA organisé par la France les 10 et 11 février, et dont l’un des thèmes majeurs sera l’impact environnemental de ces nouveaux usages.

57 % des dirigeant.e.s doutent de la capacité de leur propre équipe de direction à saisir les « risques et les opportunités » liés à l’IA. Seulement 43 % de ce groupe ont déclaré avoir mis en place des programmes de formation formels pour améliorer les compétences en matière d’IA, tandis que seulement 50 % d’entre eux ont déclaré fournir des conseils à leurs équipes sur la manière de l’utiliser au travail. Bien que 66 % des dirigeant.e.s reconnaissent l’impact de l’IA dans leur secteur d’activité, seulement 11 % estiment avoir progressé dans la digitalisation de leur entreprise au cours des dernières années (versus 9 % des dirigeant.e.s français et 14 % des dirigeant.e.s américain.e.s). 66 % des dirigeant.e.s (64 % en France), prévoient de recruter à l’externe pour faire face à cette révolution. Cette tendance à l’externalisation des compétences se confirme également pour d’autres métiers comme ceux de la data, pour lesquels 62 % des dirigeant.e.s comptent recruter des expert.e.s hors de l’entreprise plutôt que de privilégier l’interne. Seuls 34 % des dirigeant.e.s ont l’intention de former leurs collaborateur.ice.s à l’utilisation de l’IA.

Il est essentiel de trouver de nouvelles façons d’accéder aux données pour garantir l’intérêt général. Ces voies d’accès devront se conformer aux droits liés à la vie privée et à la protection des données tels que définis par les cadres juridiques nationaux et internationaux. Sans ces garanties, les personnes, entreprises et institutions ne sauraient faire confiance à l’écosystème de l’IA et ne pourraient pas mettre à disposition les flux de données nécessaires. Le rapport dresse toutefois le constat d’une certaine réserve des employeurs vis-à-vis de cette technologie. « On parle de shadow GPT dans les entreprises, un phénomène d’appropriation invisible par les salariés, qui montre une appétence ou un besoin très éloigné de l’attentisme ou de la crainte que les employeurs attribuent souvent à leurs équipes. Néanmoins, cette prise en main de l‘outil n’est pas toujours sans risque pour les organisations ».

L’intelligence artificielle contribue à améliorer les diagnostics et les traitements, optimisant ainsi le dépistage précoce et les soins médicaux. Des modèles d’IA peuvent analyser des millions de pages de recherches médicales en quelques minutes, accélérant les découvertes scientifiques.Comment l’IA transforme-t-elle le domaine du transport en 2024 ? Des avancées considérables dans les voitures autonomes sont à noter, notamment avec des services comme Waymo qui s’étendent à de nouvelles villes. Cela améliore non seulement l’efficacité des déplacements, mais réduit également les accidents liés aux erreurs humaines.Quelles sont les perspectives de l’IA en matière d’éducation en 2024 ?